"L’ISOLOIR AUDITIF"
LA DEMANDE
Dans le cadre du festival des cabanes à Annecy, il nous est demandé créer un dispositif léger, en bois qui permettrait d’aborder le rapport entre différents éléments culturels dans un lieu naturel. Cette architecture doit réussir à créer un lien avec la nature et l’homme. Nous devons y retrouver une intervention sensible et poétique.
La cabane se dresse ainsi au-dessus du cours d’eau sur une structure aérienne. Plusieurs éléments comme l’assise dos au ruisseau, laissant passer la lumière à travers ses tasseaux, la perspective accélérée de la structure ainsi que les toile de tissus l’entourent, permettent de faire appel à la curiosité du visiteur et l’invitent à s’aventure dans cette cabane.
Les toiles permettent de créer une barrière visuelle tandis que les panneaux d’OSB et les plancher permettent une réverbération du son et par là, une immersion totale de l’utilisateur.
L’utilisation du bois et du tissu permettent une intégration harmonieuse avec la forêt qui l’entoure et de créer un lien entre microarchitecture et la nature.
La forme de la cabane s’inspire de l’isoloir et devient à son tour un ouvrage qui répond à cette notion.
A travers cette cabane, le visiteur, isolé, peut en apprendre plus sur la gestion de ses sens, sur la trace auditive que peut laisser la nature sur lui et la connexion qui s’établie entre elle et lui. A la manière d’un auditeur qui écoute un musicien jouer une partition, le visiteur se retrouve immerger dans la symphonie de la nature privé de ses sens à l’exception de l’ouïe.
Les toiles permettent de créer une barrière visuelle tandis que les panneaux d’OSB et les plancher permettent une réverbération du son et par là, une immersion totale de l’utilisateur.
L’utilisation du bois et du tissu permettent une intégration harmonieuse avec la forêt qui l’entoure et de créer un lien entre microarchitecture et la nature.
La forme de la cabane s’inspire de l’isoloir et devient à son tour un ouvrage qui répond à cette notion.
A travers cette cabane, le visiteur, isolé, peut en apprendre plus sur la gestion de ses sens, sur la trace auditive que peut laisser la nature sur lui et la connexion qui s’établie entre elle et lui. A la manière d’un auditeur qui écoute un musicien jouer une partition, le visiteur se retrouve immerger dans la symphonie de la nature privé de ses sens à l’exception de l’ouïe.